Il ressort de plusieurs études que l’association d’un inhibiteur de l’angiogenèse (bevacizumab) et d’un agent immunothérapeutique (atezolizumab) pourrait apporter un bénéfice clinique dans le traitement tumoral, tout en présentant une tolérance acceptable. C’est pour cette raison que l’association précitée fait aujourd’hui l’objet de l’étude AGO-OVAR. Deux cents centres environ dans le monde entier participeront à l’étude, dont treize en Suisse, avec pour objectif l’inclusion de 664 patientes.
Des informations complémentaires sur l'étude sont disponibles ici.